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12/10/2011

37 - Du côté des Schtroumpfs

     Cet été-là, rien ne laissait présager les évènements à venir ...

     Georges m'avait suggéré de prendre un peu de vacances pour aller voir ma famille . Ma mère venait bien de temps en temps dans le Sud, sans mon père qui malheureusement était mal en point et Georges se mettait en quatre-quarts, heureux de la recevoir aussi bien que nous l'avions été dans les années passées . Elle terminait son séjour dans mon petit appartement-atelier où, venue nous rejoindre par un bel après-midi, Marie-Jo lui fit connaître la fameuse "tarte Tropézienne" . Puis, le départ approchant, Georges se faisait un plaisir de la reconduire à la Gare Saint-Charles dans sa belle Toyota rouge, vers d'autres destinations familiales et estivales .

     Vers l'été, je partis donc dans ma région natale où les joyeux Schtroumpfs étaient venus s'installer, apportant bleu et gaité dans cette verdoyante contrée au dur passé, minée par les guerres et la Sidérurgie . Le "petit peuple" de Peyo n'avait eu que la frontière à traverser pour agrémenter la vie laborieuse des habitants, en une fête perpétuelle procurant emplois, activités et distractions pour les tout petits, les jeunes, les moins jeunes et même les plus âgés .

     Je n'avais pas passé trois jours dans ce site enchanteur, qu'un coup de téléphone de Georges me rappela à la réalité, abrégeant mon séjour . Une rechute l'avait cloué au lit, mais son état commençait à s'améliorer . Le surlendemain, après un trajet en train dont la longueur me permit une tout aussi longue lecture, j'étais de retour au Solédad, un peu frustrée tout de même de devoir écourter un voyage si schtroumpfant !

à suivre ...

    

 

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